[vc_row][vc_column][vc_text_separator title= »La parité dans les CSE » color= »custom » border_width= »2″ accent_color= »#00a79d »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_empty_space][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]
Avec la nouvelle forme de représentation des salariés, plusieurs lois évoluent comme celle de la parité entre les hommes et les femmes dans les listes électorales. La loi « Rebsamen » indique que chaque liste qui comporte plus d’un candidat aux élections professionnelles doivent respecter plusieurs critères :
- la représentation des femmes dans l’entreprise doit se retrouver dans les listes sous peine d’annulation de l’élection des candidats. Si le pourcentage de femme obtenu est un nombre décimal, il faudra alors arrondir au supérieur ou à l’inférieur près. (Ex : 32,5 à 33 et 42,4 à 42),
- elle doit présenter alternativement un candidat de chaque sexe afin de ne pas favoriser un sexe plutôt que l’autre sous peine d’annulation également.
Ces règles s’appliquent bien évidement aux listes des candidats pour la délégation des CSE. Néanmoins, il faut savoir que la loi peut être flexible sur le sujet selon les situations, rien n’est totalement figé, elle peut s’adapter aux entreprises. Par exemple, dans un cas précis où l’employeur n’avait pas respecté l’alternance entre femme et homme, une demande d’annulation de l’élection concernée n’a pas été accepté car ça n’avait en rien affecté le vote des salariés.
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